Une étude publiée dans la revue Œil rencontré en lumière la prévalence de la myopie chez les enfants canadiens, validant les résultats et les implications pour les décideurs en matière de soins de santé, les chercheurs universitaires et les éducateurs.

La myopie, connue également sous le nom de myopie, a augmenté à l'échelle mondiale au cours des dernières décennies, les formes plus graves étant associées à un fardeau économique élevé et à un risque accru d'autres conditions de vol de vision.

« La myopie reçoit une attention significative de la part de la communauté de la santé oculaire dans le monde entier, alors que les taux d'incidence continuent de grimper chez les enfants à un rythme surprenant », a déclaré Mike Yang, OD, chercheur principal de l'article et associé clinique chez CORE. « Notre recherche, la première enquête épidémiologique non clinique basée sur la pratique de la prévalence de la myopie au Canada, brosse un tableau troublant, mais montre également l'impact bénéfique du temps passé à l'extérieur. Nous pensons qu'il ajoute des connaissances significatives, des objectifs et des exploitables aux communautés de recherche et cliniques, car plus d'efforts sont déployés pour résoudre ce problème critique et toujours croissant.

Les résultats de
la publication Prévalence de la myopie chez les écoliers canadiens : une étude pilote
ont indiqué que, bien que le taux de myopie soit de 6 % chez les enfants âgés de 6 à 8 ans, il monte à 28,9 % chez les enfants âgés de 11 à 13 ans. Pour une heure supplémentaire passée à l'extérieur chaque semaine, les chances d'être myope ont été réduites de 14,3%.

La génétique joue également un rôle : les enfants avec au moins un parent myope étaient 2,52 fois plus susceptibles d'être myopes aussi bien.

Cette étude, la première du genre au Canada, a été menée par le Centre de recherche et d'éducation oculaire (CORE), l'École d'optométrie et de science de la vision de l'Université de Waterloo et l'Institut national canadien pour les aveugles.


Œil
est le journal officiel du Collège royal des ophtalmologistes et fait partie de l'estimation groupe d'édition Nature Research.

« La prévalence de la myopie et le passage à l'apparition à un âge plus précoce soulignent le besoin croissant de stratégies pour accélérer sa progression », a déclaré Debbie Jones, FCOptom, FAAO, professeure clinique à l'École d'optométrie et de science de la vision et scientifique clinicienne au Centre de recherche et d'éducation oculaires. « CORE a joué un rôle important dans des études cliniques qui ont démontré la capacité de contrôler la progression du myope. Les patients peuvent bénéficier de niveaux plus faibles de myopie que s'ils ne sont pas atteints, abaissant probablement les niveaux de vue menaçants des complications myopes.

Le document note que des études nationales de plus grande ampleur serait en mesure de fournir encore plus de recommandations fondées sur des données probantes au grand public et aux intervenants du secteur de la santé.


Prévalence de la myopie chez les écoliers canadiens : une étude pilote
peut être consultée en ligne à l'adresse https://www.nature.com/articles/s41433-018-0015-5.epdf.